La tentative d’analyse visant les phénomènes qui se situent à l’origine du processus de génération du discours renforce l’opinion d’Eugen Coşeriu, selon laquelle les processus communicatifs se fondent sur le « discours répété » et sur la « technique libre » (dans l’assemblage de ces fragments de discours répété). On constate, de cette manière, qu’afin de communiquer, on utilise des « tranches de parole », qu’il est facile à reconnaître et à décoder pour les autres participants au processus de communication, capables d’utiliser le même code et de « lire » l’information reçue de la même façon. Notre article se propose d’analyser quelques unes de ces structures, justement pour démontrer leur poids sémantique et leur force dénotative.