En témoignant d’une idéologie littéraire tributaire du romantisme européen Biedermeier, dont on exploite, en particulier, la veine sentimentale, la prose roumaine de la première moitié du XIXe siècle en « hérite » les clichés. La femme y apparaît soit comme l’héroïne d’une romance excessivement édulcorée située dans la lignée de la prose sentimentale du XVIIe siècle, soit, par contre, comme protagoniste d’une histoire de moeurs rappelant les typologies du roman bourgeois des Lumières.