Dans la société roumaine (la Moldovie et la Valachie) de l‘Ancien Régime, l‘élite dirigeante qui comprenait les grandes familles seigneuriales, détenait la préminence sociale, politique et culturelle. C‘est pourquoi, cette structure sociale est restée liée à la noblesse, au pouvoir, prestige et à la richesse, situation qui obligeait à adopter un certain comportement social et religieux, capable à exterioriser son rang, à assurer la difference du reste de la communauté. C‘était naturel de retenir l‘attention aux contemporains, surtout aux voyageurs étrangers, bien que leurs notes doivent être reprises avec reserves grace à leurs visions subjectives et partielles mais issues du contact direct à ces réalités. Ces exposés, diffèrents à la suite du niveau de perception, de leur but, ont remarqué la richesse, les preoccupations, les habitudes et les moeurs de la classe aristocratique roumaine. On n‘a pas negligee ni l‘origine, ni la structure or les privileges de l‘aristocratie, ni leurs signes exterieurs comme: les vetêments, l‘habitation, leur place à la Cour, la participation tant aux èvénements qui se situent aux limites du quatidien, en assurant la cohesion au groupe social, qu‘aux ceremonies de la Cour seigneuriale.Si, jusqu‘au XVIIIème siécle, les mentions étaient liées surtont au role social et politique de la classe aristocratique ou on mis en evidence la garde de quelques elements bizantines. Alors, pour la nouvelle periode, phanariote, ont été remarqués surtont le luxe exagéré et nuisible, malfaisant, qui caractérisait l‘aristocratie, l‘orientation et le cosmopolisme des priviligiés, concomitant à la manifestation de leurs tendances européennes. En ce temps-là, face aux anciens seigneurs avec , un caractére digne d‘estime‖, les nouveaux seigneurs sont flatteurs envers les plus grands et arrogants envers ceux qui sont inférieurs, ils sont aussi intrigants, des tyrans dans leurs propres demeures. L‘impact des nouvelles transformations sur la société a compris seulement la partie intérieure, par l‘immitation de la vie, des moeurs, de l‘aristocratie de l‘ouest et très peu les changements de mentalité. Dans la même mesure l‘éloignement gradual des moeurs Greco-levantine, presse, accelére, la fin du régime des phanariots qui connait une dispersion rapide aux premiers décennies du XIXème siècle.